mercredi 3 décembre 2014

CORRIGE APPLICATION 3 PREMIERE PARTIE

LE CONTROLE DE GESTION ET
                       LES DOMAINES DE GESTION

1° EVOLUTION DES ORGANISATIONS

Idée directrice
Les évolutions portent aussi bien sur les tâches et les procédures de travail, l’information et sa circulation, les qualifications et la responsabilité des acteurs de l’organisation.

Eléments de réponse
On passe d’une vision statique cloisonnée, stable, rationnelle de l’organisation (éloignée de la réalité humaine) à une vision dynamique évolutive, instable, polyvalente, communicante et impliquant les acteurs. C’est une approche plus réaliste, intégrant de nombreuses variables quantitatives et qualitatives mais plus difficile à gérer car chaque organisation est contingente.

Essai de développement du tableau présenté :




     a   De nouveaux modèles d’organisation et de gestion
·        Les capacités de réactivité au marché et la flexibilité sont devenues les maître-mots.

·       Les technologies de l’information constituent un outil indispensable pour tenter de diminuer les incertitudes liées au marché et communiquer en temps réel dans l’entreprise.

·       Les niveaux hiérarchiques sont réduits, les responsabilités sont décentralisées et les fonctions s’organisent en réseau.

·       Qualité et mobilisation du personnel tendent à devenir un atout central.

·       L’implication individuelle et collective devient décisive.



     b Evolution du contenu du travail et Enrichissement des tâches

·       L’opérateur intervient progressivement sur un processus global et non plus sur un poste particulier. L’attention s’est déplacée du travail individuel vers le collectif. Là où primait l’efficience de l’opération prime à présent l’efficience de l’inter-opérations.

·       Les échanges de rôle et de compétence sont fréquents, la complexité des techniques et la masse croissante d’informations ne pouvant être maîtrisée par une seule personne.

·       La polyvalence progresse à tous les niveaux, mais la liberté se trouve limitée par l’interdépendance. Une coopération fondée sur l’interaction non programmée des individus et des sous-ensembles de l’organisation apparaît de plus en plus nettement.

·       Enfin, il faut noter une certaine diminution de l’effort et un plus grand confort grâce au développement des procédures, à la diminution des irrégularités et à la plus grande transparence des savoir-faire utilisés.

·       Les compétences sont transdisciplinaires :
On constante qu’il est demandé de plus en plus à de très nombreux salariés de tous niveaux de qualification, de manifester de nouvelles compétente ces telles que autonomie, responsabilité, communication, élaboration de projet.




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